Dans le projet Eco-vallée, les fresques murales se sont initiées dans le quotidien. A Nice, quatre street artistes ont eu à leur disposition près de 80 mètres de palissade de chantiers de la technopole urbaine. La découverte de l’art dans le dossier a conduit les promoteurs à rejoindre le monde artistique au monde immobilier. Une collaboration qui fera le bonheur de tous et qui promet un avenir florissant dans les deux domaines.
Le street art, enfin pris au sérieux
Et Nice fait peau neuve à chaque pression sur les sprays colorés que François Nasica, Otom, Faben et Brian Caddy ont effectués sur les 80 mètres des enceintes de la technopole urbaine Nice Méridia dans l’Eco-Vallée de la ville. Initiative qui concerne quelques quartiers, quelque 10 000 hectares et qui offrira au final, un entourage intéressant aux organisations publiques. C’est le côté artistique qui égaye ainsi les quartiers de Nice depuis même 2014. Nice Méridia sera en effet l’exemple dans le domaine du street art lié à l’immobilier. Et un lieu agréable à vivre avec cette combinaison parfaite pour un endroit destiné à cohabiter, travailler et divertir également.
L’art de s’exprimer
Dans cette initiative, les artistes locaux ont apporté leur touche d’innovation dans ce projet. Chaque œuvre transmet un message bien précis comme pour le cas de François Nasica pour un message d’union. Quant à Brian Caddy, il atout simplement rendu hommage à Jean Nouvel, l’architecte des immeubles Pléiade et Odyssée. Le niçois Faben a réveillé ses sentiments et a laissé parler ses émotions. «Love Eco-Valley», c’est ainsi qu’il a résumé en tout son ouvrage dans ce message de paix et d’amour. Et Otom a opté pour la Bande dessinée, le cyberpunk et le BMX, trois styles qui le reflètent au final.